Le choix des énergies est d’autant plus crucial et d’actualité
qu’il est pendu au constat quant à l’état des
ressources en énergies fossiles comme le pétrole,
ressources qui diminuent inéluctablement et fatalement
du fait de leur surexploitation. L’uranium
qui alimente les centrales nucléaires subira à court ou moyen terme également le même sort. La réalité du réchauffement climatique dû à nos émissions de gaz à effet de serre (CO2) invite à
réduire très rapidement la voilure et à trouver
des formes écologiques et économiques de
productions d’énergies capables d’atténuer et de
ralentir les prédictions alarmantes qui se dessinent à l’aune de 2050, c’est-à-dire demain.
Le Groupe International sur l’Evolution du
Climat (GIEC), si l’on en croit les résultats
de ses recherches, assure qu’il faut réduire
nos émissions à effet de serre d’au moins
60 % si l’on veut éviter un effondrement économique et écologique.
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